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Des créations annulées en novembre/décembre dont le report est attendu en 2021 ! Les Théâtres concernés vous informent au fur et à mesure.
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A partir de huit histoires inspirées de l’Évangile, la jeune et talentueuse Tiphaine Raffier s’interroge sur la possibilité de faire le bien. Initialement à l’affiche du Festival d’Avignon 2020, qui fut annulé, cette création voit le jour à La Criée à Marseille.
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Catherine Hiegel, Noémie Lvovsky et André Marcon gravissent ensemble les versants escarpés de l’œuvre dramatique de Thomas Bernhard. Dans une mise en scène d’Alain Françon, les trois comédiens créent Avant la retraite au Théâtre de la Porte Saint-Martin.
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Le metteur en scène Thomas Quillardet signe une adaptation théâtrale de Ton père, roman autobiographique publié par le cinéaste Christophe Honoré en 2017. L’histoire d’un homme qui n’a pas voulu que son homosexualité l’empêche de devenir le père qu’il a toujours rêvé d’être.
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Quarante ans après l’avoir rencontré, Christian Benedetti retrouve Tchekhov et continue d’explorer son œuvre de jour en jour, de soir en soir, de pièce en pièce…
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Quatre ans après la mise en scène donnée au Théâtre du Vieux-Colombier, Eric Ruf et la troupe de la Comédie-Française proposent une nouvelle version, comme pour extraire la substantifique moelle du texte. Un plat raffiné mais un peu sec.
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Initialement destinée l’été dernier à la Cour d’honneur et à son impressionnant mur de pierre, la pièce commandée par Jean Bellorini à Valère Novarina fut reprise dans le cadre de la Semaine d’art en Avignon, une belle réussite arrêtée vendredi 30 octobre par le reconfinement. Le Jeu des Ombres compose une ardente pérégrination, accompagnée par de merveilleux comédien, chanteurs et musiciens. Le divin chant d’Orphée réinventé, L’Orfeo sublime de Monteverdi et la langue de Novarina qui caracole composent un alliage de toute beauté.
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Guillaume Barbot adapte pour la scène le roman Alabama Song de Gilles Leroy, dont l’héroïne est la romancière Zelda Fitzgerald, épouse du célèbre Francis Scott. Entre théâtre et concert, cette pièce pêche par sagesse, peu appropriée à son sujet.
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Animée par l’esprit de troupe, la compagnie du Berger conduite par le metteur en scène Olivier Mellor crée une Noce chorale, musicale et engagée dans l’esprit du cabaret.
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Depuis 15 ans, le groupe franco-syrien Bab Assalam déploie un riche univers entre Orient et Occident. Dans Derviche, ils rendent avec le circassien Sylvain Julien un bel et tournoyant hommage à la tradition soufie.
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Après Saint-Félix en 2019, Elise Chatauret revient à La Tempête avec la même équipe pour sa nouvelle création autour des questions liées à la fin de vie et la manière dont notre société l’appréhende.
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En 2019, il s’emparait brillamment d’Opening Night de John Cassavetes*. Aujourd’hui, Cyril Teste se tourne vers Anton Tchekhov. Dans une nouvelle traduction d’Olivier Cadiot, le cofondateur du Collectif MxM crée une version de La Mouette qui cherche à éclairer les zones d’absolue intimité contenues dans cette œuvre.
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En programmant en même temps sa nouvelle création, Catarina et la beauté de tuer des fascistes, et une recréation de sa première pièce Chœur des amants, Les Bouffes du Nord proposent une traversée de l’univers de Tiago Rodrigues. Un voyage entre passé et présent, où l’amour côtoie de près la violence.
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Pour sa première saison à la tête du Théâtre National de Nice, Muriel Mayette-Holtz décuple les possibilités de rencontre avec le public et transforme le théâtre en lieu de foisonnement créatif.
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Marjorie Nakache met en scène le texte adapté des Confessions par Xavier Marcheschi, qui interprète le philosophe en dialogue avec son enfance et les événements qui forgèrent son œuvre et son caractère.
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Igor Mendjisky invente une fiction très librement inspirée de sa propre quête sur les traces de son père. Entre souvenirs et imagination, la quête de soi croise le deuil et le rire se mêle à l’émotion.
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Figure de l’avant-garde dramatique anglaise, debbie tucker green a obtenu le prix Laurence Olivier de la révélation théâtrale en 2004 pour Mauvaise (Born bad). Nouvellement traduite, la pièce est portée sur les planches par le metteur en scène Sébastien Derrey. Huis-clos familial, la pièce touche au tabou de l’inceste.
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La metteure en scène Gaëlle Hermant s’attaque à l’écriture musicale et corrosive d’Ivan Viripaev. Une pièce en sept variations autour de la mort et de l’amour. Explications.
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Pour sa nouvelle création, le metteur en scène Pascal Kirsch s’empare d’un classique de la science-fiction : Solaris écrit en 1961 par l’auteur polonais Stanislas Lem.
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Rodolphe Dana et Katja Hunsinger portent à la scène la célèbre nouvelle d’Herman Melville, où le personnage éponyme refuse inexplicablement l’ordre du monde. Une énigme qui ouvre une multitude de pistes.
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Fidèle aux écritures contemporaines en général et à celle de Marie NDiaye en particulier, Frédéric Bélier-Garcia met en scène un flamboyant monologue intérieur sur la violence scolaire, dont il confie l’interprétation à sa mère, Nicole Garcia.
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L’auteure Leslie Kaplan et la metteure en scène Élise Vigier entretiennent toutes deux des rapports étroits avec l’œuvre de Kafka. Dans Le Monde et son contraire, elles creusent ensemble cette passion commune à travers un portrait très vivant.
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La nouvelle création de la compagnie Combines esquisse, par le biais autobiographique, le tableau d’un milieu en plein bouleversement, celui du monde ouvrier. Une évocation personnelle et une histoire singulière à portée universelle, dont les résonnances actuelles sont multiples.
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