JE NE VOUS AIME PAS
de Pierre Notte
avec la complicité de Marianne Wolfsohn
avec Nathalie Bécue, Lorella Cravotta, Marianne Wolfsohn
mise en scène Marianne Wolfsohn – lumière Elodie Tellier –
costumes Donate Marchand
15 et 16 mars 2019 à 20h30
Salle Culturelle, 17 Impasse du Petit Pont – 60380 Songeons
renseignements-réservations
Communauté de communes de la Picardie Verte 03 44 04 53 90
19 mars à 20h30
Salle des fêtes – 60130 Quinquempoix
renseignements-réservations
Comédie de Picardie 03 22 22 20 20
20 mars à 19h30
Bar de la Comédie de Picardie, 62 rue des Jacobins – 80000 Amiens
21 mars à 20h30
Bar de la Comédie de Picardie, 62 rue des Jacobins, 80000 Amiens
renseignements-réservations
Comédie de Picardie 03 22 22 20 20
production déléguée Théâtre de la Ramée
co-production de la Comédie de Picardie
création cofinancée par l’Union Européenne avec le Fonds européen agricole pour le développement rural : l’Europe investit dans les zones rurales.
avec le soutien de la Drac Hauts-de-France, de la Région Hauts-de-France, de la Communauté de Communes de la Picardie Verte, du Conseil départemental de l’Oise et de la Spedidam
Labellisé «Rue du Conservatoire», (Association des élèves et des anciens élèves du Conservatoire)
Un espace, deux femmes. L’une est actrice, parisienne. L’autre est programmatrice, en province. On découvre le territoire, la programmatrice le fait visiter, l’actrice le visite. L’espace, ancien foyer paroissial devenu salle des fêtes, et théâtre à l’occasion. Les premiers mots, déjà, font mal. Le fossé entre elles se creuse, elles s’y engouffrent… c’est une pièce de guerre qui commence. Elles vont s’y livrer sans merci, il n’y aura pas de quartier. Au centre de leur conflit, « le projet », dont on saura peu de choses. Qu’importe. Il ne verra jamais le jour, confisqué par ces deux femmes qui savent ce qu’est le théâtre, elles qui le font, elles qui en sont… Pierre Notte
“Mon chemin de comédienne parisienne, puis les années passées sur le terrain du théâtre en milieu rural, près des élus, des responsables de la programmation, des compagnies et des spectateurs, m’ont conduite à demander à Pierre d’écrire un texte… il a accepté, aussi, que l’on y entende des « paroles données ». Marianne Wolfsohn
