Le 21 mai, Anne Bérélowitch présentait au Pavillon Le Corbusier de la Fondation suisse MA CHÈRE SŒUR de Alain Knapp
Alain Knapp
Mise en lecture : Anne Bérélowitch
avec
Ophélie Koering, Jean-Alain Velardo, Marion Trémontels, Arnaud Pontois- Blachère
accompagnement au piano : Alain Levy
Témoignages
OUI,
Merci mille fois à toute cette équipe qui a donné une belle performance à ce texte d’Alain Knapp.
Nous n’avons pas eu le temps de vous féliciter comme vous le méritiez.
J’ai trouvé l’interprétation étonnemment juste chez les quatre comédiens très bien distribués et crédibles.
Il n’y a plus qu’à tourner …
Et le texte d’Alain Knapp a été très bien mis en valeur par le très beau travail que vous avez livré grâce à Anne Bérélowitch efficace et discrète, sans accessoires superflus.
On aurait aimé que vous nous présentiez toute cette équipe avant de boire un coup.
Marion T. je ne vous aurais jamais imaginée dans ce rôle et j’étais heureux de voir la progression du personnage ange/démon qui nous a tous étonnés. Magnifique travail de comédienne.
Alain Knapp que je n’avais pas revu depui 20 ans a créé une superbe histoire de famille et ce pianiste élégant a tenu le pari difficile de jouer assis parmi nous … il fallait l’oser, c’est très habile;
Mille fois plus intéressant qu’un musique enregistrée
Que d’intelligence chez chacun pour partager une émotion croissante !!!
Un grand moment de vrai théâtre dans ce petit salon.
Oui c’était un très bon moment de théâtre, BRAVO et MERCI à tous
Merci
Jean Mermet
Ma chère Françoise,
Avec plaisir, je te dis quelque mots de cette belle et bonne soirée. Le groupe des lecteurs est remarquable, engagés individuellement et cohérents dans leur unité. Et bien dirigés par Anne,
Du texte de Knapp, que j’avais lu il y a un moment, et un peu oublié, la mise en voix lui donne vraiment du corps, de la résistance, du fil à retordre, que la seule lecture de ces récits n’apporte pas. A l’entendre, , on découvre des tas de tiroirs qui se referment les uns sur les autres, c’est un montage de faux-selfs, d’images de soi, d’images à donner aux autres qui donnent le tournis, bien maitrisé par les lecteurs.
Que dire d’une mise en espace, mise en scène, plus théâtrale, je ne sais pas, mais j’imaginerais volontiers un montage radiophonique avec musique et quelque bruitage, ( en resserrant peut-être le texte) et qui laisse l’auditeur dans l’incertitude de l’inscription de cette pièce dans une réalité plus ou moins réelle, ou dans un imaginaire plus ou moins fantasmé.
A bientôt pour d’autres partages d’impressions,
Marie Claude Buffaut
Chers amis,
Voici le résumé de cette lecture diversement appréciée : dans le premier quart d’heure on apprend qu’une certaine demi-sœur vient perturber la soirée de sa grande sœur qui se préparait à passer une soirée avec son ami. On apprend ensuite que cette grande sœur alors qu’elle était mineure s’était laissée séduire par le père de la petite sœur. D’où les ressentiments !!!
L’ami de la grande sœur « sensibilisé » par cette histoire se met à draguer la petite sœur ! Puis avec un autre ami rencontré aussi par hasard, d’autres scènes de drague sans grand intérêt dans lesquelles la petite sœur se fait appeler différemment pour conjurer ses difficultés ! Un combat de coq entre les deux hommes devait faire mouche ! Le tout sur fond de bâtisseurs de vie !
Il n’était pas question d’amour ! C’était sans aucun doute voulu ! L’auteur était ravi !
Avec toute ma sympathie amicale !
Pierre Londiche
Chère Anne,
Merci de la lecture de l’autre soir. Un merci pour vous bien sûr et d’abord, et aussi à Alain Levy – pour son accompagnement au piano – et aux comédiens. J’ai été très touché de la façon à la fois élégante et légère avec laquelle vous êtes parvenue en si peu de temps à mettre en voix cette lecture. J’ai aussi été très sensible à l’intérêt et à l’engagement de vos interprètes. Pour une première expérience, c’est à mes yeux une réussite.
Merci encore.
Alain Knapp
Merci aux Lectures Vagabondes de l’association Rue du Conservatoire. Quel plaisir, hier soir, de lire la pièce d’Alain Knapp devant une salle comble et d’échanger ensuite pendant des heures!
Ophélie Koering