« Mère Morte » de Lucile Bertin vient de recevoir l’aide nationale à la création de textes dramatiques dans la catégorie littérature dramatique décernée par ARTCENA.


« Mère Morte »

de Lucille Bertin

vient de recevoir l’aide nationale à la création de textes dramatiques dans la catégorie littérature dramatique décernée par ARTCENA.

Résumé :

Sa mère vient de se donner la mort … elle a 65 ans.Jeanne, sa fille, se rend auprès d’elle …Tant de déni, non dit, de si grandes souffrances, tellement d’amour …. Que reste-t-il à dire ?  Rester droite et vivre encore …

LUCILE BERTIN 

Née au milieu du siècle dernier d’un père peintre et d’une mère comédienne, elle vit ses toutes premières années au théâtre de la comédie de Lyon pédalant sur son petit vélo entre les allées sous l’œil un brin mécontent de Roger Planchon qui dirige sa mère.

Son enfance et son adolescence baigne dans l’univers théâtral qu’elle quittera pour voler de ses propres ailes … ailleurs.

Elle trouve une voie dans le service public, milite, s’agite, et poursuit une carrière politique en devenant notamment directrice de la communication de Jack Lang à Blois et directrice de Cabinet d’Olga Trostiansky adjointe de Bertrand Delanoë, Maire de Paris.

Elle est aujourd’hui en charge des questions de laïcité au sein de la Ville de Paris.

L’écriture la tenaille depuis l’enfance, elle achève un roman qui n’a pas encore trouvé son éditeur et gagne en 2010 le prix de poésie Simone Landry. Elle travaille actuellement à un nouveau roman.

LE 11 FÉVRIER  2019 À 19 H AU JTN

Dans le cadre des Lectures Vagabondes portées       par Françoise Viallon-Murphy

 

Marc Sussi                met en voix

« Mère-Morte »

de Lucile Bertin

     (en présence de l’auteure)

Avec Sarah-Jane Sauvegrain et Catherine Gandois

Une rencontre avec l’auteure autour d’un verre a fait suite à cette lecture

                     

Extrait :

« Je pourrais te parler d’amour, de cet amour que je porte, malgré moi, malgré toi, malgré lui. Il s’élève au-dessus des torrents de boue qui nous salissent et nous retiennent.

Si tu savais comme il me dérange,

Pourtant j’y tiens, je m’y accroche….Comme les premiers hommes… Quand ils ont découvert le feu. »

 

 

 

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