Une adaptation plus erratique que dialectique, qui rejoint notre époque à travers une forte dimension farcesque.
Quelques semaines avant Les Frères Karamazov, qui sera créé à L’Odéon le 12 novembre 2020, Sylvain Creuzevault porte à la scène l’un des passages emblématiques du roman, Le Grand Inquisiteur. Une adaptation plus erratique que dialectique, qui rejoint notre époque à travers une forte dimension farcesque.
Un conte cruel et fantastique d’une grande intelligence
Dans une mise en scène de Jacques Vincey, Hélène Alexandridis, Bénédicte Cerutti et Tiphaine Raffier font siffler Les Serpents de Marie Ndiaye. Elles donnent à entendre la grande intelligence de ce conte cruel et fantastique, au détriment parfois de sa dimension sensible.
Une mise en scène épurée et soignée qui peine à restituer l’originalité transgressive de la photographe américaine.
Après Jackson Pollock (Pollock, 2009) puis Janis Joplin (Pearl, 2013), le metteur en scène Paul Desveaux clôt sa trilogie américaine en créant Diane Self Portrait autour de la figure de Diane Arbus. Une mise en scène épurée et soignée qui peine à restituer l’originalité transgressive de la photographe américaine.
Les mots prennent corps et les idées prennent vie dans ce spectacle original et envoûtant.
Narcisse interprète des textes et musiques de sa composition, accompagné à la guitare et au piano par Robin Pagès. Les mots prennent corps et les idées prennent vie dans ce spectacle original et envoûtant.
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