Chers amis, chers professionnels,
après de nombreuses années d’obstination acharnée pour trouver les moyens de donner corps à ma pièce, j’ai décidé de la faire éditer.
Pour ceux qui n’ont pas eu l’occasion d’assister à l’une des lectures ou “mise en espace”-dont la dernière a eu lieu au théâtre 13 grâce à la très regrettée Colette Nucci- cela vous permettra de la découvrir, et pour ceux qui la connaissent, de la redécouvrir…
Dans tous les cas, c’est avec joie que je vous livre ce fruit de tant de travail et d’échanges, de rencontres passionnantes avec ces actrices que j’adore.
Je souhaitais parler des femmes et des actrices, ces créatures qui font rêver et qui pourtant sont traditionnellement mal-considérées, ces athlètes de l’expression, de l’émotion. Ces femmes qu’on soupçonne de
mensonge, qu’on accuse de narcissisme, qui sont « toutes les femmes » et se perdent parfois, ces héroïnes qui portent un masque lorsqu’au fil des drames personnels, des brisures, des coups reçus : “The show must go on”
mensonge, qu’on accuse de narcissisme, qui sont « toutes les femmes » et se perdent parfois, ces héroïnes qui portent un masque lorsqu’au fil des drames personnels, des brisures, des coups reçus : “The show must go on”
Dans la vraie vie après 50 ans, est-ce que les femmes existent ?
Est-ce qu’on en trouve?
Est-ce qu’on en a besoin ?
Est-ce qu’on s’en passerait?
Y’a t-il une vie après 50 ans ?
C’était au départ, la question. J’ai mis le doigt sur un sujet qui a fait son chemin depuis. Aujourd’hui, il est brûlant : ça touche, ça fait rire, ça va droit au cœur. Ça réclame d’être incarné.
Est-ce qu’on en trouve?
Est-ce qu’on en a besoin ?
Est-ce qu’on s’en passerait?
Y’a t-il une vie après 50 ans ?
C’était au départ, la question. J’ai mis le doigt sur un sujet qui a fait son chemin depuis. Aujourd’hui, il est brûlant : ça touche, ça fait rire, ça va droit au cœur. Ça réclame d’être incarné.
Chaleureusement,
ODILE
vous pouvez d’ores et déjà la commander en suivant ce lien. Pour ceux qui sont réfractaire aux achats en ligne , j’organiserai prochainement une signature
Odile Roire est actrice et metteure-en-scene.
Elle vit entre Paris et le Morvan.
Auteure de “L’amour passif” (roman)
Auteure de “L’amour passif” (roman)
Sortie du C.N.S.A.D en 1984, elle joue Shakespeare, Fassbinder, Musset, Claudel, Sarraute, Vinaver, Musil…etc. au théâtre sous la direction de Daniel Benoin, Pierre Debauche, Christian Colin, Georges Lavaudant, Marie Hermès, René Loyon, Etienne Bierry, Josane Rousseau, Marion Bierry … Au cinéma et à la télévision, elle travaille sous la direction de Jean-Luc Godard, Sally Potter, Dante Desarthe, Rémi Waterhouse, Fred Cavayé, Stéphane Kurc, Philipppe Beranger…
En 1998, elle crée la compagnie « Histoire d’Amour » et met en scène ses propres t e x t e s « Histoire d’Amour » , « Vie nocturne », ainsi que « Une chambre à soi » de Virginia Woolf, « Phèdre » de Racine, « Seule avec lui » adaptation de « Dans ces bras-là » de Camille Laurens, « Du temps que les bêtes parlaient » avec les fables de La Fontaine…
Elle joue Helen Sutherland dans « Les peintres au charbon » de Lee Hall mis-en-scène par Marion Bierry, et a mis en scène « A tort et à raison » de Ronald Harwood au théâtre Rive-gauche où elle jouait le rôle de Tamara jusqu’en avril 2013.
En 2017, elle reprend le rôle de Philaminte dans « Les femmes savantes » montée par Macha Makeïff.
Elle écrit la pièce « No woman’s Land », ainsi que le roman « L’amour
passif ».
En 2017, elle reprend le rôle de Philaminte dans « Les femmes savantes » montée par Macha Makeïff.
Elle écrit la pièce « No woman’s Land », ainsi que le roman « L’amour
passif ».