Des créations et des reprises que l’on vous conseille fortement….CRITIQUE – DU 8 AU 19 MARS AU THÉÂTRE GÉRARD PHILIPE PUIS À REIMS Des femmes qui nagent de Pauline Peyrade, mise en scène d’Emilie CapliezUne autrice, une metteuse en scène, quatre comédiennes, seize amatrices et des dizaines de personnages féminins, actrices de cinéma ou anonymes, présentes sur le plateau ou décrites, évoquées, remémorées, imaginées. Programmée au Théâtre Gérard-Philipe de Saint-Denis, Des femmes qui nagent nous plonge dans des fulgurances climatiques amples et persistantes. CRITIQUE – DU 9 MARS AU 1ER AVRIL AU THÉÂTRE PARIS-VILLETTE Rodrigo Portella met en scène Tom na Fazenda (Tom à la Ferme) : un moment de théâtre d’exceptionRécompensée à de multiples reprises, la tragédie écrite par l’un des plus grands dramaturges contemporains québécois, adaptée au cinéma par Xavier Dolan, lève un tabou, celui du meurtre homophobe. Mise en scène par Rodrigo Portella, cette version théâtrale brésilienne d’une violente beauté, confinant au sublime, est un moment de théâtre d’exception. CRITIQUE – DU 31 MARS AU 16 AVRIL AU THÉÂTRE GÉRARD PHILIPE La Crèche : mécanique d’un conflitEn ouverture de sa résidence d’une année au Théâtre National Populaire de Villeurbanne (TNP), la compagnie L’Harmonie Communale y présente La Crèche : mécanique d’un conflit de François Hien. Un dense et passionnant moment de théâtre qui fait résonner un événement réel passé avec le présent. CRITIQUE – DU 20 AU 25 MARS AUX PLATEAUX SAUVAGES Nos corps empoisonnés, de Marine Bachelot N’GuyenRécit d’une vie hors normes et d’un combat juridique contre des multinationales de la chimie, Nos corps empoisonnés restitue de manière passionnante et limpide le combat de Tran To Nga. CRITIQUE – DU 15 MARS AU 9 AVRIL AU THÉÂTRE DU SOLEIL La Situation, Jérusalem, portraits sensibles de Bernard Bloch : un théâtre humaniste de haute tenueDans le sillage du Voyage de D. Cholb, Bernard Bloch poursuit sa plongée inquiète au cœur du conflit israélo-palestinien en portant à la scène les paroles de gens de Jérusalem. Un théâtre humaniste de haute tenue. CRITIQUE – DU 7 AU 25 MARS AU THÉÂTRE 14 White Dog : la compagnie Les Anges au Plafond explore l’humanisme de Romain GaryDeux ans après R.A.G.E., la compagnie Les Anges au Plafond explore à nouveau l’humanisme de Romain Gary en portant à la scène White Dog. Un théâtre politique où le jeu marionnettique interroge avec talent la question de la haine raciale. CRITIQUE – DU 8 MARS AU 30 AVRIL AU LUCERNAIRE La Foire de Madrid : Un Madrid fantasmé par Lope de Vega avec le regard d’une troupe d’aujourd’huiLe Collectif La Voix des Plumes, porté par Ronan Rivière, investit le texte rarement exploité de Lope de Vega, Las Ferias de Madrid. Dans un décor à plusieurs niveaux, sept comédiens et un pianiste font revivre la pièce espagnole du Siècle d’or. CRITIQUE – DU 7 AU 18 MARS AU MONFORT THÉÂTRE « J’aurais mieux fait d’utiliser une hache » par le collectif Mind the Gap interroge la fabrique du film d’horreurAvec J’aurais mieux fait d’utiliser une hache, le collectif Mind the Gap poursuit ses recherches autour de la notion de frontières. Pour interroger par les moyens du théâtre la fascination qu’exercent les films d’horreur sur ses spectateurs, le groupe met en avant avec humour et subtilité la fabrique du gore. CRITIQUE – JUSQU’AU 11 MARS AU THÉÂTRE DE L’ESSAION Natalie Akoun revient avec sa petite merveille « Mon âge d’or ». On adore !De Mnouchkine à Ferré, des colos au Conservatoire, Natalie Akoun, accompagnée par Vincent Leterme et Laurent Valero, met sa vie en chansons. Une merveille de charme et d’intelligence. CRITIQUE – DU 14 AU 18 MARS AU THÉÂTRE DE LA VILLE – LES ABBESSES Le Théorème du pissenlit : une mise en scène d’une beauté percutante d’Olivier LetellierOlivier Letellier consacre sa dernière création au travail – à l’esclavage – des enfants. À travers une histoire imaginée par Yann Verburgh, la pièce déploie une ingénieuse épopée poétique incarnée par cinq comédiens fantastiques. CRITIQUE – DU 15 AU 18 MARS AU THÉÂTRE DE NANTERRE-AMANDIERS Le Dragon, d’Evgueni Schwartz mis en scène par Thomas Jolly : un spectacle aussi brillant que terribleThomas Jolly dirige avec énergie et talent une version expressionniste, drôle et grinçante, de la pièce dans laquelle Evgueni Schwartz montre la puissance désolante de la servitude volontaire. Un spectacle aussi brillant que terrible. CRITIQUE – DU 31 MARS AU 11 AVRIL À LA MC93 La Chanson [Reboot] de Tiphaine RaffierReprise du premier texte et de la première mise en scène de Tiphaine Raffier, La Chanson [Reboot] offre des voyages dans le temps et dans l’univers artificiel de Marne-la-Vallée. |
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