« La mise en scène donne à percevoir la violence à travers sa pleine et juste expression, notamment grâce au travail des cinq comédiennes et comédiens qui l’incarnent. »CRITIQUE – JUSQU’AU 29 AVRIL AU THÉÂTRE STUDIO D’ALFORTVILLE Guerre de Lars Noren dans la mise en scène de Christian Benedetti, un théâtre brut, sans esbroufe, au plus près de la vérité d’un grand texteAprès de nombreuses années consacrées à explorer le théâtre d’Anton Tchekhov, le directeur du Théâtre-Studio d’Alfortville met en scène Guerre de Lars Norén. Une pièce à la dureté inflexible, interprétée au plus juste par Stéphane Caillard, Manon Clavel, Alix Riemer, Marc Lamigeon et Jean-Philippe Ricci. « En nous plongeant dans un univers à la fois concret et mental, cette version de Dans la solitude des champs de coton nous transporte à la frontière de l’œuvre de Koltès. »CRITIQUE – JUSQU’AU 29 MARS AU THÉÂTRE DE LA VILLE (ESPACE CARDIN) Kristian Frédric éclaire Dans la solitude des champs de coton d’un jour nouveauLe metteur en scène Kristian Frédric projette Dans la solitude des champs de coton au sein de l’univers obscur et énigmatique d’Enki Bilal. Incarnée par Xavier Gallais et Ivan Morane, la pièce de Bernard-Marie Koltès s’en trouve comme saisie. Comme déplacée et éclairée d’un jour nouveau. « Josiane Pinson, à la fois mesurée et vibrante, réussit à raconter tout en semblant vivre ce qu’elle raconte. Elle est touchante de bout en bout. »CRITIQUE – JUSQU’AU 7 MAI AU LUCERNAIRE Josiane Pinson raconte dans Marée haute la flamme de la passion amoureuseJosiane Pinson adapte et interprète avec ferveur et élégance le roman autobiographique dans lequel Benoîte Groult raconte la passion entre George et Gauvain, que tout sépare fors l’amour… « À la manière d’un archéologue, Amos Gitaï reprend régulièrement certains motifs récurrents dans ses opus. »CRITIQUE – JUSQU’AU 13 AVRIL À LA COLLINE House d’Amos Gitaï adapte au théâtre les films de sa trilogie documentaireAmos Gitaï adapte au théâtre sa trilogie documentaire consacrée à l’histoire d’une maison de Jérusalem Ouest depuis 1948. Une juxtaposition de récits fragmentaires sans véritable force dramatique. « Une expérience théâtrale de cet ordre est rare. »CRITIQUE – JUSQU’AU 1ER AVRIL AU THÉÂTRE PARIS-VILLETTE Rodrigo Portella met en scène Tom na Fazenda (Tom à la Ferme) : un moment de théâtre d’exceptionRécompensée à de multiples reprises, la tragédie écrite par l’un des plus grands dramaturges contemporains québécois, adaptée au cinéma par Xavier Dolan, décrypte les mécanismes d’un meurtre homophobe. Mise en scène par Rodrigo Portella, cette version théâtrale brésilienne d’une violente beauté, confinant au sublime, est un moment de théâtre d’exception. |
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.