Le 13 décembre 2011
par Françoise VIALLON-MURPHY
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Cette lecture vagabonde a eu lieu lundi 11 décembre 2011 au théâtre-studio d’Alfortville
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Chers amis
Nous avons eu le plaisir de vous recevoir
lundi 5 décembre 2011 à 20h30
à la lecture vagabonde * de
LES AVENTURES DE BENOÎT MODERNE
un texte de Philippe CRUBEZY (promo 1981)
lu par l’auteur
au théâtre-studio à Alfortville
direction Christian Benedetti
Nous vous remercions de votre chaleureuse présence
nous vous remercions aussi pour les gourmandises salées et sucrées
que vous avez apportées et qui ont agrémenté délicieusement notre soirée.
A présent et afin de nourrir leur travail
Nous souhaiterions recueillir,
en quelques lignes impromptues,
vos impressions et réflexions,
sur cette lecture vagabonde…
pour nous adresser vos impressions
Dans l’attente de vous retrouver lors d’une prochaine Lecture Vagabonde
Les lectures vagabondes
sont un outil à votre disposition
et pourront, nous l’espérons,
donner naissance à des projets,
des envolées, des ballades vers l’inattendu…
* les lectures vagabondes
Quelques lignes impromptues
- D’une lecture vagabonde à l’autre…
Entre le Mémorial de la Shoa et le Théâtre Studio d’Alfortville, en suivant le lit de la Seine il y a des ponts. Les lectures vagabondes en sont un. Relier les acteurs, les auteurs, les lieux par le texte. Nous avons bien voyagé entre le texte de Rebecca Wengrow « Les Vivantes » et celui de Philippe Crubézy « Les aventures de Benoît Moderne ».
A la recherche de la mémoire perdue :
Dans les vivantes deux femmes ; Stella – rescapée de la Shoa – et Félicité – rescapée du massacre Rwandais – se rencontrent. L’une a fait le voyage aller-retour de la mémoire, l’autre pas encore. Elle s’y refuse. L’une va aider l’autre à se souvenir. La recette du Strudel aux pommes ainsi que la lame acérée et cinglante comme un couteau de l’écriture – et de l’humour – de Rebecca Wengrow y contribuent. Se souvenir, faire revivre et réparer un peu c’est au fond le travail de l’acteur? Un très beau travail d’actrices de la part d’Anna Gaylor et Ludmilla Dabo. Les deux bouts d’une chaine d’actrices issues du CNSAD. Merveilleuse rencontre. La lecture était poignante et vibrante, très finement dirigée par Zohar Wexler qui en actionnait le mécanisme au fil de la mélodie incertaine – tout comme le souvenir – d’une boite à musique…Le larguage de Benoît Moderne par Elvire qui l’a viré (dixit) et son errance dans les rues de Paris à la recherche d’amours défuntes ou… fantasmées. Le texte de l’acteur dit par l’auteur. On est entraîné dans un jeu de piste, un voyage en solitaire qui traverse le monde de tous les jours et de ses gens au quotidien… dans le dédale des ses pensées, de sa mémoire qui flanche parfois… était-ce bien elle ou une autre ? A la recherche d’une femme en tout cas…
Françoise Viallon Murphy (promo 1981) lui écrire
- Bonjour
Qu’il est agréable de découvrir un lieu de proximité, convivial, en compagnie de futurs amis. Nous découvrons un auteur, Philippe Crubézy, très rapidement, il nous emmène dans un autre monde, la poésie et le théâtre, quel comédien.
Puis, les cousins et les cousines des amis du Conservatoire prennent un verre.
Ah, les belles soirées de la Rue du Conservatoire !
Amicalement
Yves Chevalier
- C’était vraiment une lecture formidable, la profondeur du texte, l’interprétation, la chaleur de l’endroit, les retrouvailles avec les copains qu’on ne voit pas souvent, c’était super, continuez, je voudrais bien le mail de Philippe Crubézy, car je voudrais lui dire un truc, merci d’avance, amitiés, bonne continuation, venez quand vous voulez voir » A toi pour toujours, ta Marie-Lou »
Cécile Magnet (promo 1982) lui écrire
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