LE PREMIER STAGE aura lieu sur un week-end : le samedi 15 et le dimanche 16 février 2025, chaque jour de 11h à 13h puis de 14h à 18h.
Il sera mené par
Margot Abascal, dans une agréable salle de répétition parisienne, à deux pas d’Opéra.
Il accueillera 15 participants maximum.
« À l’invitation de Jean-Noël Dahan, je suis très enthousiaste de proposer un stage d’art dramatique, ouvert à tout le monde.
En tant qu’interprète, j’ai souvent été ‘cueillie’ à l’occasion de séances réunissant des personnes venues d’horizons différents : j’en suis sortie chaque fois transformée et meilleure dans mon travail.
Les rencontres inattendues sont une source d’émulation productive ! Un public curieux d’apprendre, de se laisser surprendre, d’explorer des jeux familiers et inédits, des sensations connues et nouvelles, des enjeux dramaturgiques.
Les séances se partageront entre des échauffements ludiques, collectifs et individuels, et diverses approches du texte.
Et pour suivre la proposition de Jean-Noël, bienvenue à vos questionnements, vos projets personnels et professionnels : « Vous êtes peut-être dans une situation de travail (un projet à préciser, un texte à écrire, un concours à préparer, une intuition à nourrir…). »
J’aurai plaisir aussi à vous entendre dans la découverte de textes choisis qui me tiennent à cœur. » (Margot Abascal)
LE SECOND STAGE aura lieu sur un week-end : le samedi 22 et le dimanche 23 février 2025, chaque jour de 11h à 13h puis de 14h à 18h.
Il sera mené par
Zacharie Feron, dans une agréable salle de répétition parisienne, à deux pas d’Opéra.
Il accueillera 10 participants maximum.
« L’art, c’est l’enfance, voilà. L’art, c’est ne pas savoir que le monde existe déjà, et en faire un. Non pas détruire ce qu’on trouve, mais simplement ne rien trouver d’achevé. Rien que des possibilités. Rien que des désirs. »
« Avec ces mots de Rilke en poche nous irons vers la joie d’inventer, des corps, des mots, des sons, des mondes.
Durant ce stage nous tacherons de regarder ce qui fait obstruction, ce qui empêche nos corps d’imaginer et d’aller vers cette liberté de jouer. Nous nous tournerons vers nos imaginaires, vers ce qui reste à la porte, pour tenter de lui faire de la place. Le jeu, c’est précisément l’espace entre. Comme lorsque l’on parle d’une vis qui n’est pas totalement serrée on a coutume de dire qu’il y « a du jeu. » Nous chercherons donc à mettre de l’air, à ne pas se tendre, à découvrir des territoires jusque-là inexplorés.
L’idée est de partir de ce qui est déjà là, vos corps, vos voix, vos histoires et de tricoter à partir de tout cela de nouvelles voies. Vous pourrez venir avec un texte quel qu’il soit, su ou non, avec une chanson, une danse, un récit intime, un élan, un désir. » (Zacharie Feron)
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.